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Juin 2020
30/06/2020 : Révélations d'anciens collaborateurs de Donald Trump :
Marie-Maude Denis, au 24/60 de la SRC, en parle avec Gilles Paris, correspondant à Washington du journal «Le Monde».
Écouter en cliquant ICI.


29/06/2020 : Matière à réflexion :


28/06/2020 : La ballade des gens heureux :

Sur un autre thème : "Pas capable d'aller à toilette..."
Voir en cliquant ICI.


27/06/2020 : Guy Mongrain dixit sur twitter :
«À l’école élémentaire, les vendredis je crois, nous faisions le « salut au drapeau »:... « drapeau de ma province, salut! A toi mon respect, ma fidélité, mon amour... » mozus que ça me semble loin...».

Les poules se sont juchées hier soir...





26/06/2020 : J'aime bien le duo Laurel et Hardy...
Voir en cliquant ICI.


25/06/2020 : Une autre vidéo de Noa :

Roméo Bouchard dixit sur facebook :
«Un spectacle multiculturaliste des artistes montréalais.
Dans le contexte sanitaire et météorologique actuel, le spectacle qu'on nous a offert a brillé par ses prouesses techniques plus que par l'émotion nationaliste et le contenu politique. Peu de choses sur ce que nous sommes et ce qui nous caractérise comme peuple.

La fête nationale est par définition politique, comparée à toutes autres espèces de fêtes ou festivals. Ce n'est pas inconvenant de dire que la politique y a sa place. Or même le drapeau québécois était absent. Legault en a dit plus sur l'histoire du Québec en quelques mots que beaucoup des artistes, présents avant tout pour promouvoir leurs chansons sans rapport avec la fête. Et alors qu'on a la chance d'avoir encore parmi nous des artistes fondateurs de l'identité du Québec de la Révolution tranquille, comme Gilles Vigneault et son quasi-hymne national "C'est à ton tour", on s'interdit de les y inviter au profit d'un Émile Bilodeau qui affiche bien haut son épinglette anti-loi 21 (il n'avait vraiment pas sa place là, celui-là), ou des artistes qui n'ont strictement rien à dire sur le Québec...pour faire jeune, pour faire diversité, pour faire mondial. Â ce chapitre, la dernière partie du spectacle était un peu plus sentie.

Il y a bien eu l'amorce du thème du commencement d'un nouveau monde, avec Fred Pellerin, mais on n'a pas su s'il s'agissait d'un espoir naïf que le monde change suite à l'expérience du virus ou du début de l'effondrement de notre civilisation et de notre système économique. Sinon, il est à craindre que les grands gagnants soient les GAFA, le 5G et les robots.

Le spectacle était ostensiblement préoccupé, pour ne pas dire obsédé, par la diversité. Je veux bien, mais dieu que j'ai hâte que ce soit tout naturel, comme ce l'est avec Gregory Charles, Normand Bratwaite, Pierre-Yves Lord, Didier Lucien ou Boucar Diouf, qui sont naturellement intégrés à notre univers québécois. Quand c'est obsessif et tiré par les chevaux, c'est fatiguant et ça finit par être méprisant. Avec le pontificale déclaration de "territoire non cédé des Attikameks", on a fait une fois de plus la preuve de l'ignorance de la complexité des négociations territoriales avec les premières nations et des jalons prometteurs déjà en place dans la région de la Jamésie et du Nunavik, Même si les chiffres ne font pas le droit, Il y a des proportions à garder: 8 millions de Québécois versus 100,000 autochtones, et selon plusieurs estimés, les populations autochtones de la Vallée du Saint-Laurent n'étaient que quelques milliers au temps de Champlain. Le Québec blanc a peut-être aussi le droit d'exister. On mesure les ravages du mondialisme, aussi bien chez la droite libérale que la gauche libérale (qui n'a rien de solidaire, en passant!): on ne sait plus quoi fêter à la fête nationale!!!

Quant à la soi-disant animation de Pierre Lapointe et Ariane Moffat, elle était plutôt inexistante, tout au plus superficielle et faussement inclusive: Pierre Lapointe chantant du Plume Latraverse, même en se forçant, ça colle pas beaucoup!. J'aurais préféré entendre davantage Didier Lucien, qu'on aime bien, et qui était supposé être le président de la fête: pourquoi l'a-t-on caché? Serait-ce parce qu'il n'a pas voulu se mouiller sur le racisme systémique?

En somme, en l'absence du peuple, une fête régionale de Montréal et des artistes multiculturalistes de Montréal plus qu'une fête nationale. Mais c'était quand même beau.
Vivement le peuple québécois.»



24/06/2020 : Bonne fête nationale!
À toutes les Québécoises et Québécois, de toutes origines, bonne fête nationale. Que cette journée en soit une où règnent la tolérance et l'acceptation de l'autre dans le respect des valeurs profondes du Québec qui lui ont permis d'être aujourd'hui un si beau pays.

Merci Boucar, tu es un exemple à suivre pour nous tous!
Boucar Diouf a écrit : "Si vous migrez au Québec, vous vous préparez à aller dans la nation la plus ouverte et pacifique de l’Amérique du Nord. Vous allez dans la nation où les femmes sont parmi les plus affirmées et égalitaristes du monde occidental ; où la simple évocation de la droite religieuse provoque une crise générale d’urticaire ; où le droit à l’avortement est un acquis non négociable ; où les hommes ont droit à des congés de paternité ; où le mariage n’est plus une institution sacrée et un couple sur deux divorce quand ça ne marche plus ; où les adolescents, à la puberté, sont autorisés à s’embrasser et à se fréquenter ; où gais et lesbiennes manifestent ostensiblement leur identité et ont le droit de se marier ; où changer de sexe pour retrouver son homéostasie existentielle est aussi bien accepté."

 


23/06/2020 : Bonne fête Carole et Patrick!
Le 23 juin est toujours, à chaque année, une journée spéciale. C'est l'anniversaire de naissance de Carole et Patrick. À vous deux, je souhaite, santé, sérénité et bonheur!


22/06/2020 : Bruno Guglielminetti publie sur twitter :
«Il y a 30 ans aujourd’hui, Robert Bourassa s’adressait à l’Assemblée nationale après le rejet de l'Accord du lac Meech. Voici l’extrait du discours qui a marqué cette journée.
»
Écouter en cliquant ICI.


21/06/2020 : Bonne fête des pères!
Bon dimanche!

Une sonnette qui marche à tout coup...



20/06/2020 : Trop, c'est comme pas assez...


19/06/2020 : L'art d'acheter des votes...


18/06/2020 : L'appel du général de Gaule, le 18 juin 1940 :
Il y a 80 ans, il s'est adressé aux Français...


17/06/2020 : Les poules sont arrivées hier...
Elles ont pondu 4 oeufs en deux jours. C'est bien parti!


16/06/2020 : Très touchant...
Un bel exemple de savoir tirer le maximum d'une situation difficile. Voir en cliquant ICI.


15/06/2020 : Le port du masque est plus que souhaitable...


14/06/2020 : Pas surprenant!


Vue du toit en ce beau dimanche après-midi...






13/06/2020 :" Les déconvenues d’un antiraciste" :
Voilà le titre de l'article, signé de la plume de J.F. Lisée, dans Le Devoir de ce jour. Il montre bien qu'il y a eu des proposions concrètes mises sur la table pour favoriser l'embauche de néo-québécois sans résultat probant. Même le PLQ, dont une bonne partie des néo-québécois lui est favorable, n'a rien fait pour en favoriser l'embauche.
Lire en cliquant ICI.


12/06/2020 : Oui, il y a un problème à régler :
Les partis de l'opposition n'avaient rien d'autres à se mettre sous la dent et ont joué les vierges offensées... Voir en cliquant ICI.


11/06/2020 : À Saint Henri :
Ce midi, je suis allé à Saint Henri me procurer de la nourriture et de la ripe pour les poules que j'attends impatiemment. Tout est maintenant prêt...il ne reste que les trois poules qui se font attendre.


10/06/2020 : Il a bien raison...
Je commence en avoir marre du Québec bashing!

Pas surprenant!


09/06/2020 : Entendu sur QUB radio, hier :
Entrevue de Frédéric Bastien par Antoine Robitaille à propos de la chroniqueuse Susan Riley, du Québec bashing sur les ondes de la CBC.. Écouter en cliquant ICI.


08/06/2020 : "Immer am falschen Ort" :
Voilà le titre de la vidéo (en français = Toujours au mauvais endroit ) à laquelle Barbara a participé et où elle lit des extraits de son dernier livre en présence d'un participant. La scène se passe à Erfurt en Allemagne de l'est, ville qu'elle a pratiquement adoptée comme son deuxième chez-soi.
Regarder en cliquant ICI.


07/06/2020 : Jardinage :
J'ai travaillé à transplanter les plants de tomates, piments et fines herbes. J'ai également semé les concombres, carottes nantaises, fèves et betteraves.


06/06/2020 : C'est la faute au Co-Corona :
La COVID-19 a bien changé des choses... Voir en cliquant ICI.

Élémentaire mon cher Watson!


05/06/2020 : Le poulailler est terminé...
Il est maintenant prêt à recevoir les 3 poules que je devrais avoir vers le 20 juin, grâce à un neveu de Mario, mon voisin, qui a une fermette à Armagh.





04/06/2020 : Gregory Charles s'exprime sur sa page facebook :
«J’entends mon père.
La mort, brutale, injuste et inutile de George Floyd a révélé un vent de colère, une tempête qui souffle sur l’Amérique et sur le monde depuis plus d’une semaine. Comment ne pas être saisi par les images captées par une jeune fille de 17 ans qui passait par là et qui, téléphone à la main et au risque de sa propre vie, a immortalisé une scène horrible de haine et d’indifférence. Un policier blanc tue lentement, sans raison et surtout sans crainte, un homme noir qui est déjà soumis. Il reste insensible à sa douleur, à sa misère, à ses appels à l’aide, au fait qu’on implore sa miséricorde. Le policier n’écoute pas ceux qui s’inquiètent pour celui qu’il domine et qu’il afflige. Il tue. La devise du service de police de Minneapolis est pourtant bien « To protect with courage, to serve with compassion ». Le policier a totalement failli à sa tâche. Ni courage ni compassion.
Comme des millions de personnes sur ce continent et dans le monde, j’ai pleuré en voyant les images. J’ai pleuré, j’ai été rempli de colère et d’incompréhension. Je me suis senti dégoûté, impuissant, découragé. Étant le papa d’une petite fille caramel, je suis aussi inquiet. J’ai peur pour ma fille parce qu’elle a vu ces images et qu’elle ne pourra jamais les oublier. Et parce que je ne sais pas où vont mener les événements du moment.
Mais j’entends aussi en moi, depuis une semaine, la voix de mon père. « Ton grand-père est né sur une plantation. Il n’avait ni le droit à la propriété ni le droit à l’éducation. Mais il s’est élevé quand même. Il est devenu policier. Tout le monde l’aimait et il aimait tout le monde. Il faut répondre à la violence par plus de courage et plus de compassion ». C’est ce que la voix de mon père me répète depuis quelques jours.
Mon père a marché avec Martin Luther King. Il était à Washington en 1963. Il était des 250 000 personnes venues réclamer l’égalité des chances. Il a entendu la chanteuse Mahalia Jackson supplier Martin Luther King d’interrompre sa spectaculaire envolée oratoire sur les promesses non tenues de l’Amérique pour partager plutôt avec l’assemblée hétéroclite réunie devant lui, son rêve. I HAVE A DREAM « Je l’entends me raconter ce moment historique. J’entends sa voix dans ma tête, dans mon cœur. Je l’entends me dire que la seule façon d’être heureux, c’est d’être libre et que la seule façon d’être libre, c’est d’être capable d’aimer quelqu’un ou quelque chose plus que l’on s’aime soi-même.
Les États-Unis sont affligés par une maladie qu’ils ont contractée dans leur enfance : Le racisme. Ils ont fait des progrès depuis 400 ans. Mais il ne semble pas y avoir de vaccin pour cette maladie. Ils avancent puis ils régressent. Ils font des rechutes. Leur économie, leur système politique, leur filet social sont empreints d’inégalités et d’injustices raciales. Cette maladie les empêche de réaliser l’objectif fondamental de leur république : former une plus parfaite Union et permettre à leurs citoyens, à tous leurs citoyens de trouver le bonheur.

Il ne faut pas penser cependant qu’ils sont les seuls malades. Le racisme et la discrimination ne discriminent pas. Aucun continent n’en est exempt. Nous n’en sommes pas exempts. Il y a eu du racisme ici. Il y en a aujourd’hui. La question est de savoir ce qu’on fait aujourd’hui, maintenant.

Au début des années 70, mes parents ont tenté de louer un appartement dans le quartier Ahuntsic. En voyant mon père, le propriétaire, un colosse un peu obtus, a dit à ma mère qu’il n’était pas question qu’il loue à un noir. Ma mère, blanche, du haut de ses 4 pieds onze pouces lui a dit sa façon de penser. Mon père l’a pris par la main, a remercié le propriétaire pour son temps et nous sommes partis.
Une quinzaine d’années plus tard, cet homme s’est fracturé une jambe et a été transporté à l’hôpital général juif de Montréal. L’ayant reconnu, mon père qui travaillait là en orthopédie a choisi de s’occuper de lui. Il s’agissait d’une fracture compliquée et pénible. J’étais adolescent et je travaillais avec mon père dans ce même établissement à l’époque. J’avoue que je ne comprenais pas bien pourquoi mon père voulait aider, mais surtout servir un homme qui avait été si cruel avec lui, avec nous. J’entends sa réponse depuis quelques jours, dans ma tête. « Il souffre et il a besoin de réconfort. I will do for him what must be done and I will do it as well as I can ». Et je l’entends ajouter: « Because that is how we love and how we win, son ».
Cet homme a passé six jours à l’hôpital. Il a reconnu ma mère qui ne l’aimait toujours pas et qui lui a dit à nouveau sa façon de penser. Mais je n’oublierai pas les quelques mots qu’il a dits à mon père quand il est parti : « Merci Lennox de m’avoir guéri. Et je ne parle pas de ma jambe. » Et à moi il ajouta : « Ton père est tout un bonhomme. T’as des grosses bottines à chausser ».
Le sort a voulu que le nom du meurtrier, du policier de Minneapolis soit Chauvin. Pris comme un adjectif, son nom signifie une propension, une tendance à faire preuve d’un amour exagéré, excessif pour sa propre personne, son propre groupe ou son propre pays. Si mon père était vivant, il me dirait que cet homme cruel a besoin d’amour et de compassion, qu’il en a sans doute manqué. Il me dirait qu’il y a une âme à sauver en lui.
Mais il me dirait que ce n’est pas lui le problème, ce sont les autres officiers qui sont restés là sans rien faire, qui ont menti à leurs supérieurs à propos de ce qui était vraiment arrivé. Ils auraient pu intervenir. Ils auraient pu. Mais ils n’ont rien fait. Pas de compassion et encore moins de courage.
Ces autres officiers, c’est parfois nous. Noirs ou blancs, jeunes ou moins jeunes, on se campe parfois dans nos certitudes. On se donne des explications, des justifications courtes alors que les problèmes sont complexes et cruels. Il faut qu’on s’insurge, qu’on se soulève, qu’on refuse ce qui est inacceptable, ce qui est imbuvable. Mais on ne peut pas répondre à la cruauté par de la cruauté. On ne peut pas répondre à la violence par de la violence. On ne peut pas répondre à de l’indifférence par de l’indifférence. Il faut répondre à la colère par de l’écoute. Il faut répondre à l’indifférence par de la compassion. Il faut répondre à la haine par d’irrésistibles gestes d’amour. Et il faut encore et toujours rêver d’un monde où nous sommes tous et toutes blancs ou noirs, jeunes ou vieux, hommes ou femmes, croyants ou non, influents ou non, libres parce que capables d’aimer les autres plus qu’on s’aime soi-même.
C’est ça que j’entends mon père me dire depuis quelques jours, dans ma tête. Dans mon coeur. “Because that is how we love and how we win, son.”
»


03/06/2020 : Obama s'exprime sur le racisme aux USA :
Voir en cliquant ICI.


02/06/2020 : «La main dans la poche» :
Voilà le titre de l'excellent article de Stéphane Laporte dans La Presse + que je vous invite à lire en cliquant ICI.

Les travaux sur le poulailler avancent bien...






01/06/2020 : L'humoriste guy Bedos est décédé hier à 85 ans.
Voici son numéro "Au revoir" avec Sophie Daumier, en cliquant ICI.

Will Smith a tout à fait raison...


Reprise de la rubrique du 31 mai 2020 :
Au cas où vous auriez manqué la rubrique d'hier, je la renouvelle en ce début de mois.
Depuis deux semaines, j'ai commencé à faire un poulailler avec un enclos intégré. Les travaux vont bon train, à mon rythme, à partir de plans trouvés sur internet.
À suivre...









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